Page:D - Les Callypiges, 1892.djvu/42

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

fois que je tâte un beau cul blanc ou rose à la fenêtre ; bien souvent, en palpant dans mes doigts, en maniant cette chair ferme et dure, et pourtant si douce sur les tendres fesses des jeunes filles, je me suis sentie doucement remuée. J’en conclus que le pantalon est indispensable pour que le plaisir de la flagellante soit complet.

Le pantalon collant moule toutes les formes, ne laissant rien à deviner ; quand il est abondamment garni d’aimables reliefs, quand de séduisantes rondeurs ballonnent audacieusement la fine toile transparente, sous laquelle on voit les muscles tressaillir à la première gifle, le pantalon collant a vraiment un grand attrait ; mais la fente ne s’écarte pas assez, et si on peut fesser la délinquante, on ne peut guère lui donner la verge, sans le déboutonner et le rebattre. Le pantalon large, dont la toile moule aussi les reliefs rebondis, flotte autour des cuisses et ménage d’agréables surprises à l’œil ravi, quand la main découvre les riantes perspectives qu’il recèle ; on peut très-bien administrer la fessée, même les verges, soit en l’entr’ouvrant soi-même,