Page:D - Les Callypiges, 1892.djvu/44

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niches à sa maîtresse de dessin et lui a tiré la langue. Je lui ordonne de venir s’étendre sur mes genoux. Mes élèves savent que le moindre essai de résistance est puni par la verge, sévèrement appliquée. La jeune dissipée ne se fait pas répéter l’ordre ; elle s’approche, se met en travers de mes cuisses, je relève les dessus, un joli petit pantalon brodé laisse passer un pan de chemise par la fente ; je prends ce bout dans la main gauche, je le relève en tirant par en haut, ce qui fait écarter la fente suffisamment pour découvrir une belle partie de son petit cul blanc, que je pelote un moment, sous prétexte d’écarter les bords ; puis, lui administrant une dégelée de claques sur les fesses nues, je les rougis en un clin d’œil, tout en admonestant la petite coupable, qui, plus sensible aux caresses qui la cinglent qu’aux discours que je lui débite, se tortille sur mes genoux en me demandant grâce. Quand j’en ai fini avec elle, je la laisse agenouillée, le front sur une chaise, troussée bien haut sur les reins, lui ordonnant de tenir la fente écartée, pour exhiber tout nu son joli petit postérieur cramoisi,