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Page:D - Les Callypiges, 1892.djvu/43

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soit en le faisant ouvrir par une aide ou ce qui est encore plus piquant, en obligeant la délinquante à tenir elle-même la fente grande ouverte ; les bords s’écartent en effet suffisamment pour laisser jaillir les trois quarts d’un gros derrière, même les cuisses et tout le postérieur quand il est fendu très-bas.

Le pantalon est en général de toile très-fine, diaphane, et prend le ton des chairs roses ; il descend jusqu’aux genoux, serre quelquefois à la jarretière ; il emprisonne les hanches, les fesses et les cuisses.

Il y a plusieurs manières de fouetter une coupable en lui ôtant ou en lui laissant le pantalon ; cette dernière manière me paraît la plus piquante. J’ai eu à corriger ce matin quatre jolis postérieurs : deux de 12 ans et deux de 13. Voici d’ailleurs comment j’ai corrigé les délinquantes.

J’ai fait monter, après classe du soir, les quatre coupables dans la chambre où nous sommes réunies. J’appelle la première, Miss Lucy, une jeune blondinette très-dissipée, qui a fait des