Page:D - Odor di femina, 1900.djvu/101

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pompant la verge plantée dans le fond, tandis que la sœur aînée dirigeait le mouvement avec ses cuisses. Elles jouissent encore toutes les deux comme des folles.

Il fallut des précautions pour les retirer l’une de dessus l’autre, les perruques s’étaient entremêlées, je dus les aider à les débrouiller.

Avant leur départ, comme j’étais en brillant état, la Roussotte, qui n’avait pas tâté du gros objet aujourd’hui, veut que je la prenne du côté où elle loge d’ordinaire le gros visiteur, pour que sa bien-aimée sœurette puisse l’aimer par devant, ce qui est si bon avec Marianne, et qui sera bien meilleur avec la bonne petite langue de sa chère cadette.

Suzanne fut très surprise de la direction qu’elle vit prendre à mon gros membre, et elle voulut se rendre compte de visu, étonnée qu’un aussi gros volume pût entrer là-dedans. Il y entra cependant fort bien, car il ne resta dehors que les témoins du visiteur. Quand elle ne put plus douter devant l’évidence, elle courut à son poste, où elle se comporta en sœur aimante et reconnaissante, obligeant le clitoris de sa sœur chérie à pleurer trois fois, mais à la troisième, quand nous partîmes ensemble, moi lançant la foudre, elle léchant follement, ce fut pour l’enclouée, une volupté délirante.