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Page:D - Odor di femina, 1900.djvu/102

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La mignonne, devant cette démonstration éloquente du plaisir indicible que l’on goûte ainsi, voulait tâter de ce gros morceau dans ses fesses, mais il n’était pas pour son jeune postérieur, il serait dommage de détériorer ce ravissant cul virginal de seize ans. Pour la consoler, il fallut la postillonner, ce fut moi qui m’en chargeai, avec mon adresse habituelle, tandis que sa sœur, toujours avec une ardeur charmante, la réjouissait à trois reprises pour ne pas être en reste.

— C’est bien bon tout de même ainsi, s’écria la cadette, surtout avec la langue si aimable de ma grande sœur.

Elle lui sauta au cou, elles s’embrassèrent longuement, je croyais qu’elles n’en finiraient pas.