Page:D - Odor di femina, 1900.djvu/115

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geôle que je pris dans mes dents. À peine ma langue le frôla, qu’il se raidit, et se mit à frétiller sous la chatouille, s’humectant bien vite, tandis qu’elle glissait sur le bord du fauteuil, venant au-devant de ma bouche, je fus obligé de la retenir, elle semblait obéir à l’influence d’une caresse magnétique, qui l’attirait comme l’aimant attire le fer.

Je la mis debout, son sein battait violemment, je le palpai, le pressant sous ma main refermée sur la toile du corsage qu’il repoussait, le petit bouton raidi s’enfonçait sous mon doigt dans le globe affaissé, repoussé par l’élasticité du sein quand je le lâchais. Il me tardait de découvrir ce joli corps rondelet, je la déshabillai la mettant toute nue en un clin d’œil.

La gorge tenait amplement ses promesses, les deux tétons rebondis, d’une élasticité remarquable, étaient durs et fermes, les pointes vermeilles se dressaient vers le ciel, on aurait dit de grosses poires duchesses, sous la peau qui était d’une neige immaculée, et les bouts d’un rouge vif. La belle toison noire, aux longs poils fins et soyeux comme de la peluche, couvrant les trois quarts d’un ventre lisse et blanc.

Je la retournai pour inspecter le revers de la médaille, la chute des reins attira mon attention par la saillie hardie de la croupe, en relief