Page:D - Odor di femina, 1900.djvu/117

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le secours des doigts. Les bords, baillant de plus en plus, le happèrent, je poussai, mais le logis était étroit, je mis assez longtemps pour gagner la sombre voûte et je n’y arrivai que pour y déposer ma décharge, tandis qu’elle se tordait sous moi, son bouton et mon membre étaient au dernier degré de l’impatience après leurs pourparlers à la porte.

Elle essaya de se dégager pour aller prendre la précaution que je lui avait recommandée, mais de même que ventre affamé n’a pas d’oreille, vit qui bande n’entend pas raison, et comme le mien était en état de reprendre la conversation sans coup férir, il se tint dans la place occupée, luttant avec une ardeur qu’on n’aurait pas soupçonnée dans un combattant qui venait de décharger. Elle me seconda admirablement, les jambes croisées sur mes reins, prenant ma langue, l’aspirant comme pour l’arracher, elle m’aida tant et si bien que je la pénétrai de nouveau la menant au ciel avec moi.

Par exemple nous fûmes vite à terre cette fois, elle sur la cuvette, moi à son côté, lui enseignant à s’infuser la précaution que la maladroite n’aurait jamais pu avaler sans ma direction.

Elle fit la gamine à merveille. Je profitai de