Page:D - Odor di femina, 1900.djvu/13

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une belle gorge libre de corset, dont je sentais palpiter les gros seins sous la légère toile comme s’ils étaient nus, tout en l’embrassant fortement sur ses grosses lèvres rouges, qu’elle m’abandonnait, et en lui vantant les charmes ravissants qu’elle venait de m’exhiber si indécemment. Je voyais une rougeur pudique envahir ses joues, malgré la nuit qui tombait. Je m’avisai de poser ma main sous ses jupes, elle ne fit pas la moindre résistance, mais elle serrait énergiquement les cuisses, comme pour m’empêcher de gagner les hauteurs pudibondes.

Devant cet obstacle, je m’avisai de prendre un détour, qui réussit généralement, je tournai la difficulté, en venant par derrière, faisant glisser ma main sous les fesses par la large fente qui offre un facile passage à l’invasion de ces parages, et malgré la défense toujours énergique des cuisses, j’arrivai facilement au but par cette voie large et glissante. Comme si elle n’attendait que ça pour se déclarer vaincue, Colette écarta les cuisses, et je pus enfin la caresser tout à mon aise. Son con brûlant consentait lui aussi, car il s’ouvrait sous mes doigts comme pour les engager à entrer. Ses genoux ployaient, elle s’affaissait peu à peu, si bien qu’elle s’assit enfin, et glissa étendue sur le gazon.

Je portai mes doigts sous mon nez, ils fleu-