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Page:D - Odor di femina, 1900.djvu/139

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quatre, une longue badine assez forte, souple et flexible, et je m’avançai près de la belle croupe en montre, en lui recommandant de se pencher en avant. La grosse fille m’obéit et me présenta son vaste postérieur arrondi, proéminent, élargi, montrant entre ses grosses fesses écartées, comme un petit œil noir, qui semblait narguer l’astre d’en haut. Ce gros derrière suspendu dans l’espace, surplombant deux puissantes cuisses rondes, s’offre dans une posture bien engageante, exhibant entre les cuisses écartées le con vermeil bâillant dans un nid de poils roux.

Je lève la houssine, qui retombe avec force sur les globes rebondis, qui trahissent la douloureuse émotion qu’ils ressentent, par un frémissement de l’épiderme et par une longue raie rouge qui souligne la peau nue. Sous l’impulsion du second coup, qui retombe avec un sifflement redoutable, la fille fait un pas en avant, mais elle me présente toujours son gros fessier tremblant, souligné de deux parallèles rouges. Je la cingle vivement, prenant un vrai plaisir à ce jeu piquant, dont on m’avait vanté l’attrait, car les fesses s’agitent en plaisants mouvements à chaque sillon que trace un coup sévère.

L’appât du gain soutient sans doute le cou-