Page:D - Odor di femina, 1900.djvu/140

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rage de la fustigée, qui ne bouge pas, malgré la sévérité que je déploie, car au lieu de chercher à se dérober, elle tient énergiquement ses jupes dans ses mains, tandis que je la fustige à tour de bras.

J’aperçois le bijou qui bâille grand ouvert, comme dans la soif d’amour. Je jette la baguette, venant constater l’état des lieux, ils étaient incandescents, les fesses que je frôlai en passant étaient brûlantes.

J’étais moi-même dans un état assez brillant. Elle laissa retomber ses jupes, et cette grande fille, qui avait des larmes dans les yeux, au lieu de tendre la main pour palper la récompense promise, se jette sur moi, venant s’enquérir de l’état du visiteur, glissant sa main dans ma braguette, où elle constata avec plaisir qu’il était en tenue de combat. Cette fois, ce fut elle qui m’entraîna par ce lien sensible dans le fourré.

Les fesses brûlantes firent naître en moi le désir de la prendre à la paresseuse. J’eus lieu de me louer de ma bonne inspiration, le feu qui pénétrait mon ventre, le fourreau qui énormait mon membre ardait lui aussi, tous ces excitants décuplèrent notre plaisir, mais Rose jouissait pour la troisième fois, quand je sentis s’élancer de mes bourses un jet épais qui la