Page:D - Odor di femina, 1900.djvu/16

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sion pour découvrir le charmant objet et le caresser, la prenant ainsi pour sentir ses belles fesses, blanches comme celles d’une duchesse, contre ma peau ; mais je n’avais pas eu encore le loisir de me loger dans l’arrière-train, opération délicate, pour laquelle il faut du temps et des précautions. Je l’y préparais de longue main, et enfin un beau jour que nous avions tout notre temps, elle consentit à m’y recevoir.

Elle se lavait à grande eau maintenant, je le lui avais conseillé pour une surprise que je lui ménageais, et que je ne me serais pas avisé de lui faire à l’époque où elle se lavait à la hâte avec trois gouttes d’eau, en faisant sa toilette matinale. Comme nous avions du temps devant nous, et que nous ne courions aucun risque, je commençai par la surprise.

Jamais femme étonnée comme celle-ci, quand elle me vit inaugurer le divertissement inconnu d’elle. Elle m’écartait de ses deux mains, reculant son derrière, comme si elle était honteuse de me voir agenouillé devant ce qui s’ouvre pour pisser, mais j’insistai si bien que, trouvant la chose bonne, exquise, elle se laissa faire, me portant son con satiné, l’appuyant fortement et se frottant sur mes lèvres, pressant ma nuque de ses deux mains, goûtant trois fois sans une cesse une volupté ineffable.