Aller au contenu

Page:D - Odor di femina, 1900.djvu/15

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

lui glissai en même temps une pièce d’or dans la main, qu’elle eut l’air de refuser, mais qu’elle engloutit fort bien dans la poche de son tablier. Comme elle était à genoux, pour ramasser les cerises, penchée en avant, cette posture engageante m’invita à la prendre en levrette.

Je vins derrière elle lançant ses jupes sur ses reins, mettant au jour, si on peut parler ainsi à cette heure, le beau reposoir arrondi. Elle comprit ce que je lui voulais, connaissant sans doute la posture, car elle pose ses mains à terre, s’accrochant à l’herbe, pour s’arc-bouter et recevoir le choc sans broncher. Elle avait une superbe paire de fesses, que je n’avais pas pu bien voir à cheval sur la branche ; je passai sous cette belle arche de chair, me glissant dans la fournaise toujours ardente, quoique humide de la récente escarmouche, plus facilement que la première fois, entre les parois lubrifiées. Elle me devança encore, malgré le plaisir indicible que j’éprouvais à heurter ses superbes fesses rebondies. Je l’inondai jusqu’au cœur.

Nous nous en allâmes chacun de notre côté. Cet opulent fessier, si abondant, si ferme, si élastique me hantait la cervelle depuis que je l’avais pressé sous mon ventre, pendant la fouille en levrette. Chaque fois que je la rencontrais seule chez elle, je profitais de l’occa-