Aller au contenu

Page:D - Odor di femina, 1900.djvu/162

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

happant le gland dans ses lèvres, pompant tout le reste avec une avidité de goule.

Je voulus connaître l’histoire salée, à laquelle la baronne faisait allusion, quand la langue de Mirza lui léchait le cul, et plus tard Gracieuse, quand elle m’avait dit que je n’avais rien vu. J’avais deviné la chose.

Je pris l’aimable soubrette à cul nu sur mes cuisses, et pendant que je maniais ses charmes arrondis dans tous les coins, elle dévida le peloton des jolies horreurs.

Parfois, quand madame avait besoin dans la journée de s’asseoir sur… le trône, elle s’épanchait de préférence dans un vase ad hoc, les fesses en l’air, sous les yeux de la levrette, tenue en laisse par la soubrette, qui avait toutes les peines du monde à l’empêcher de s’élancer vers le mets odorant, dont le fumet l’attirait, friande de cette odeur comme tous ses congénères. On voyait la… chose sortir de l’huis entr’ouvert, descendant entre les plis écartés, restant suspendue, agitée par le mouvement des fesses, se détachant enfin dans un effort qui retournait le muscle qui se refermait brusquement quand l’opération était terminée.

Alors on lâchait Mirza, qui s’élançait vers le dépotoir refermé, léchant avec fureur les bords resserrés, tandis que la soubrette à ge-