Page:D - Odor di femina, 1900.djvu/161

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de se dérouler à côté, puis nous reprendrons nos jolis jeux, allumés, vous par la vue, moi par l’action.

— Voulez-vous maintenant que je vous chevauche à mon tour, mon gentilhomme ?

— Je veux bien, gentille écuyère. Voyons comment tu te mets en selle.

Elle m’installa sur une chaise, la culotte rabattue, la verge au vent, pour être plus à l’aise, elle retira tous ses vêtements, ne gardant que sa chemise et ses bas, puis elle vient m’enjamber, s’embrochant toute seule, descendant sur mes cuisses nues, à cheval comme un postillon. Je plongeai dans la chemise entrebâillée un regard scrutateur, suivi d’une main quêteuse, patinant ses beaux seins dodus, qui sont dans tout leur développement, fermes et d’une élasticité remarquable, et sur les globes arrondis se détache piquée dans le milieu, la rose rouge du paradis épanouie dans la blancheur des lis.

Ma main gauche pelotait les fesses, pendant qu’elle chevauchait ; elle trottinait depuis une demi-minute à peine, quand ses tétons se mirent à danser, son vagin m’étreignait, et elle jouissait en m’embrassant furieusement sur la bouche pour ne pas s’exposer à crier. Soudain elle vide les arçons, au moment où un jet foudroyant allait s’élancer ; elle le reçoit dans la bouche,