Page:D - Odor di femina, 1900.djvu/166

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chaude cavité satinée, allant chercher la volupté jusqu’aux lambris de la voûte.

Je lâchai les bords à mon tour, pour plonger mon œil ravi dans cette chair ouverte, embaumant le foin coupé, exhibant le coquet petit bouton, qui frétillait, luisant sur le bord, et aussi pour voir ces ravissantes fesses qui se dandinaient au-dessus de mon nez, et que je mordis en me soulevant sur les coudes, avant de reprendre ma voluptueuse besogne. Elle fut vite terminée aux deux bouts, et je léchais la douce rosée que distillait la fontaine d’amour sous ma langue, tandis qu’elle aspirait mon foutre suavamment pompé.

Je la portai dans son lit, et après une salve de baisers sur ses lèvres humides, je regagnai ma chambre, qui était à l’extrémité du corridor sur les bas, mes bottines à la main, pour ne réveiller personne.

Le lendemain et jours suivants, après avoir baisé le bout des doigts que me tendait toujours la veuve, que je me promettais de lâcher carrément, après les trente jours d’épreuve, attendant le dernier délai pour profiter jusqu’à la fin des charmes captivants de l’aimable soubrette, je me rendais dans la chambre de Gracieuse, qui était toujours la plus intrépide buveuse de foutre, et après les scènes excitantes