Page:D - Odor di femina, 1900.djvu/171

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DERNIER MOT


Je passai quelques jours au pays, mais l’hiver n’est guère favorable aux amours champêtres. Je revis à la dérobée quelques-unes de mes aimables chaussepieds, entre autres, la chaude Madelon qui, devant convoler quelques jours après en justes noces, grâce à mes libéralités, me permit de lui injecter le sein neuf fois durant les trois jours qui précédèrent la cérémonie, risquant le paquet, pour dix louis ; et s’il n’y est pas resté le paquet, il n’y aura pas eu de ma faute ni de la sienne car je me dégorgeais, entré jusqu’aux bourses, immobile, le gland plongé dans le col de l’utérus qui me pinçait là-haut, aspirant la semence jusqu’à la dernière goutte, tandis que la chaude fille se tordait