Page:D - Odor di femina, 1900.djvu/172

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sous mon corps, jouissant comme une possédée ; je restai quelquefois une heure sur le corps électrisé, navigant sans désemparer jusqu’à la troisième émission.

Mais ces rencontres avec ces aimables prêteuses de fourreaux de toutes sortes étaient trop espacées et trop malaisées pour compter en faire un ordinaire, et je regagnai Paris vers la fin de décembre, comptant au retour de la belle saison revenir bien vite à la campagne reprendre mes études de plastique comparée sur mes études champêtres.

Je retrouvai à Paris les poupées en cire que j’y avais laissées, augmentées de quelques nouvelles recrues, qui n’étaient pas faites pour me faire oublier les ardentes encroupées de mon coin de terre, là-bas sous le soleil du Midi. Aussi je n’en abusai pas. Comment peut-on se mettre en frais pour ces colombes en carton pâte, qui vous subissent pour empocher votre or, vous laissant toute la besogne, de sorte que, mal secondé, vous éprouvez du… soulagement quand vous avez achevé votre labeur fatigant.

À la bonne heure, nos robustes paysannes ! Elles y vont de bon cœur celles-là, toujours disposées à jouer du croupion, vous donnant gentiment la réplique, vous secondant par des ripostes énergiques, vous offrant pour l’œil, pour