Page:D - Odor di femina, 1900.djvu/173

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les lèvres, pour la main, et même pour la dent, car j’aime à y mordre de la belle chair fraîche, de la chair ferme, de la chair élastique, de la belle viande rose, comme celle d’un jambon d’York, tout ça assaisonné du fumet de la nature, la véritable « odor di femina », qui vaut bien, je pense, le musc écœurant de toutes les peaux tanées de vos poupées en cire molle.


fin