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Page:D - Odor di femina, 1900.djvu/61

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faire du papier, mais à coup sûr, elle n’en fit pas le même usage que moi de mon mouchoir.

Je regagnai mon observatoire un peu avant midi. Janine renouvelait ses tentatives, implorant son amie qui fut inébranlable. Cependant, quand elles furent debout pour sortir, Marianne vaincue se laissa faire, l’amie se glissa sous les jupes. Soudain, mue par un bon mouvement, la jeune femme prit ses jupes dans ses mains, les releva très haut par devant et par derrière, me montrant ses belles fesses nues, elle me tournait le dos, se dévouant au régal de mes yeux, car elle aurait pu aussi bien ne lever que le devant.

Bientôt en effet j’assistai à un joli spectacle, je voyais distinctement l’ouvrière agenouillée travailler avec ardeur entre les cuisses, le cou tordu, tandis que je voyais les jolies fesses blanches se tortiller, se secouer, se dandiner, se tordre enfin en roulements voluptueux. Elle resta ainsi nue jusqu’à ce que l’ouvrière se fût relevée, implorant sa revanche. Mais Marianne impassible ne voulut à aucun prix lui rendre la pareille.

— Tu me le paieras, lui dit Janine en la menaçant du doigt.

L’après-midi se passa en aimables passe-