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Page:D - Odor di femina, 1900.djvu/64

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vis bien qu’elle avait quelque chose sur le bout de la langue. Je la traitai comme d’habitude, commençant par la réjouissance de son minet parfumé, puis elle vint chevaucher à l’envers, ce qui décidément me plaisait beaucoup à cause des belles chairs de ses ravissantes fesses, que je pouvais aussi manier à mon aise. Je lui enfonçai une phalange de l’index dans les chairs, ce qui la combla d’aise quand elle s’épancha.

Quand je lui fis ma seconde visite, après avoir préparé l’affaire par les préliminaires accoutumés, elle vint comme toujours à reculons, les fesses mouvantes, mais au lieu de s’embrocher comme d’habitude, elle reposa le petit trou plissé sur la pointe de ma verge quillée, essayant de s’enclouer, me surprenant par ce caprice inattendu. D’ailleurs elle essaya en vain pendant que je lui tenais l’objet droit entre les fesses, je le sentais fléchir sous le poids du corps. Devant cet insuccès, elle tourna la tête, me mit les lèvres sur l’oreille, et fermant les yeux, comme pour ne pas voir ce qu’elle allait dire, elle murmura, mais si bas, que je devinai plutôt que je n’entendis.

— Pourtant Janine m’a assuré que ça rentrait fort bien par là.

— Ah ! elle t’a dit ça la coquine ! Eh ! oui, ça rentre, mais avec des précautions pour la