Page:D - Odor di femina, 1900.djvu/66

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de sorte que le dégorgement dura longtemps, prolongeant mon plaisir et le sien.

J’étais si étroitement logé, et elle si aise d’être amplement chevillée, que nous restâmes liés étroitement. Le muscle se relâcha, les parois s’élargirent, je me mis alors à fouiller le gouffre, ressortant aux trois quarts, refoulant jusqu’aux poils, toujours avec la pression qu’exerce le muscle au bas de la verge. Quand je déposai mon offrande là-haut, s’ajoutant à la première, l’enclouée hennissait de plaisir.

Quand nous fûmes dégagés, elle me raconta la conversation qu’elle avait eue avec Janine, qui lui avait raconté comment je la prenais, que depuis ce moment elle grillait de goûter à ce plaisir. Elle m’avoua aussi que son amie regrettait de ne pouvoir associer à ce feu-là la langue de sa chérie, comme elle l’appelait.

— Qu’à cela ne tienne, lui dis-je, rien ne nous empêche de l’associer à nos jeux. Vous êtes liées par la plus tendre amitié, vous n’avez donc pas de connaissance à faire, ni de confusion à avoir, puisque, vous vous connaissez des pieds à la tête.

Il fallut combattre sa pudeur alarmée, elle ne pouvait se faire à l’idée d’associer un tiers à nos jeux, même ce tiers étant sa meilleure amie qui avait vu, palpé, manié cent fois pour