Aller au contenu

Page:D - Odor di femina, 1900.djvu/68

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Avant de nous quitter le soir, nous reprîmes l’expérience, mais cette fois sans faire un mouvement, elle, restant immobile sur le clou, moi, la branlant sérieusement. L’expérience fut concluante, elle se trémoussa bientôt, aspirant ma liqueur par la seule pression exercée par le muscle et le fourreau élastiques sur mon membre écrasé.

Elle regrettait de n’avoir pas à la place du doigt qui l’avait aidée, la moelleuse langue de sa chaude amie. C’était d’un bon augure pour l’avenir.