Page:D - Odor di femina, 1900.djvu/77

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

resta étranglée dans le muscle resserré, qui, tandis qu’elle jouissait comme une folle, les fesses balancées dans un roulement voluptueux, aspirait la crème, tétait le gland dans des contractions divines.

Pour terminer la fête le soir, après des sérénades renouvelées toute la journée, je pris Marianne debout, pendant que l’amie, à qui j’avais montré à lécher le cul, s’escrimait à la postillonner par derrière. Marianne déclara qu’elle avait vu les anges, quand elle avait senti la mitraille lui foudroyer le sein en même temps que la langue de l’amie lui pointillait le bas des fesses.

Janine aurait bien voulu voir les anges, elle aussi, de la même façon, mais avec les jeunes filles, surtout avec celle-ci, cette façon d’entrer au ciel n’est guère prudente, aussi dut-elle se contenter d’un léger frottement opéré sur le bouton par le bout du gland, qui lança des fusées blanches entre les cuisses, atteignant en pleine figure la vaillante Marianne, qui travaillait à l’arrière-garde, et que cette mitraille ne dérangea pas de son ouvrage.