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LE VERGER


Et ils te porteront sur leurs mains,
De peur que ton pied ne heurte la pierre.
Tu me réjouis, mon Dieu, par tes œuvres,
Et je tressaille d’allégresse devant l’ouvrage de tes mains.
Que tes œuvres sont grandes, mon Dieu,
Que tes pensées sont profondes.
L’homme stupide n’y connaît rien,
Et l’insensé n’y peut rien comprendre.

On ne voit plus guère par les glaces, et le rapide en pleine nuit, roule vers l’Orient.