Page:Dacre - Zofloya, tome 2.djvu/195

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de lumière, au point que Victoria en fut éblouie. Des ailes brillantes étaient attachées aux épaules de Lilla, et, de l’air d’un séraphin, elle tendait les mains à Bérenza et à Henriquez, en les élevant de terre. Victoria ne les vit pas plus long-tems : son cœur battait avec force, la tête lui brûlait, et essayant de changer d’attitude, elle sentit que cela ne lui était pas possible ; la violence de cette espèce de cauchemar, (car pouvait-elle, ferme d’esprit comme on la connait, regarder autrement son illusion,) l’avait totalement anéantie.

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