Page:Dacre - Zofloya, tome 2.djvu/212

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ria, qui regardant la jeune personne avec des yeux de basilic, souhaitait que comme ceux de cet animal, ils eussent le pouvoir de tuer. Les avances de l’amante d’Henriquez furent très-mal reçues ce soir-là ; on la repoussa avec hauteur, Victoria n’était pas maîtresse de se contraindre alors ; car, malgré les promesses du maure, elle sentait sa haine devenir de plus en plus amère, et en éprouvait une irritabilité indomptable.

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