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CHAPITRE XI.


Bérenza s’attacha chaque jour davantage à Victoria. Ses scrupules, ses réserves, s’évanouirent entièrement, et il se flatta de posséder son cœur comme elle possédait le sien. Cependant, à quelque haut point que fût porté son amour romanesque, sa fierté s’opposait à ce qu’il en fît sa femme. Il y avait une certaine tache imprimée sur la jeune personne, par l’inconduite de sa mère, sur laquelle sa