Page:Dacre - Zofloya, tome 3.djvu/116

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coup moins hasardeux de se confier aux opérations de la nature. D’après ces réflexions, Henriquez se tourna tout à fait contre l’infâme épouse. Il ne l’avait jamais vue avec aucun sentiment agréable, maintenant elle lui semblait horrible à envisager. Il lui attribuait la mort de Bérenza, en ce qu’elle l’avait soutenu dans ses méprises cruelles. Malheureux frère ! tu soupçonnes encore bien peu ce que tu dois à ce monstre, et la nature ne t’a appris qu’une faible partie de ses crimes !

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