Page:Dacre - Zofloya, tome 3.djvu/125

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Ils furent à la chambre solitaire. — Entrez, Zofloya, et approchez du lit.

Le maure obéit.

— Ouvrez ces rideaux, et regardez ce qu’ils cachent.

Le maure tira les rideaux et vit les traits de Bérenza ; puis se tournant vers sa veuve, elle crut remarquer en lui la même expression qu’elle avait vue dans son rêve.

— Eh bien, maure, dit-elle, en lui prenant vivement le bras, qu’allez-vous faire dans une extrémité pareille ?

Zofloya resta muet.

— Dites donc, est-ce ainsi que vous me préservez du soupçon ? voyez-vous ces taches noires et ces traits crispés par l’effet du poison…