Page:Dacre - Zofloya, tome 3.djvu/184

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à sa douleur, lui dit tranquillement : « Je ne désire pas, signora, imposer une gêne continuelle à votre amitié, et je vous prie, maintenant que je suis en convalescence, de vous dispenser de vos attentions pour moi, et de prendre quelque récréation qui vous repose l’esprit. »

Victoria, profitant de cette ouverture pour reparler du sujet si cher à son cœur, lui dit du ton d’un tendre reproche : « Cruel Henriquez ! est-ce ainsi que vous devriez parler à celle qui ne peut vivre qu’auprès de vous ? Épargnez au moins un cœur qui vous aime, qui… »

» Signora ! je n’aurais pas dû m’attendre à ce que vous revinssiez sur un sujet… et en ce moment encore ! »