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Page:Dacre - Zofloya, tome 4.djvu/48

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la montagne voisine, en formant de cette sorte une espèce d’angard. En entrant sous cette voûte, on y vit une ouverture étroite par où les brigands passèrent les uns après les autres : vint le tour de Victoria d’entrer dans cette sombre caverne, auquel le sommet servait de portique périlleux. Son cœur s’affaiblit et ses craintes augmentèrent.

Cependant, forcée de marcher, car ceux qui étaient derrière la pressaient, elle prit son parti en songeant qu’elle était avec Zofloya. Le passage devint plus spacieux à mesure qu’on avançait ; mais en tournant et retournant dans ce labyrinthe sans fin, tandis que d’autres ouvertures s’offraient sur leur passage, la plupart, séparées par une arche, ils se trouvèrent dans un espace