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Page:Dante - L’Enfer, t. 1, trad. Rivarol, 1867.djvu/190

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Chant xiii. — Deuxième donjon, où sont punis les violents contre eux-mêmes, tant les suicidés que ceux qui se font tuer. — Description de leur supplice. — Les harpies et les chiennes noires, double emblème des peines qui donnent le dégoût de la vie.
149
Chant xiv. — Troisième donjon, dans lequel sont punies trois sortes de violences. — Celle contre Dieu, ou l’impiété ; celle contre nature, ou la sodomie ; et celle contre la société, ou bien l’usure. — Description du supplice des impies. — Allégorie sur le temps et sur les fleuves d’Enfer.
157
Chant xv. — Suite du troisième donjon. — Supplice des violents contre nature, c’est-à-dire des sodomistes. — Entretien de Dante et de son précepteur.
165
Chant xvi. — Suite du troisième donjon, et des violents contre nature. — On a vu dans le chant précédent les littérateurs : ce sont ici les militaires atteints du même vice. — Chute de Phlégéton dans le huitième cercle.
173
Chant xvii. — Description du monstre de la fraude, nommé Gérion. — Il porte les deux poëtes sur son dos au fond du huitième cercle : mais avant de quitter le septième, Dante jette un coup d’œil sur ce qui lui reste à voir dans le troisième donjon, et y trouve les usuriers, qu’il nomme violents contre la société.
181



Paris. — Imprimerie de Dubuisson et Ce, rue Coq-Héron, 5.