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Page:Dante - La Divine Comédie (trad. Artaud de Montor).djvu/417

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… alors ces lueurs innombrables, de plus en plus étincelantes… (P. 345.)

CHANT VINGTIÈME


L orsque l’astre qui éclaire le monde descend de notre hémisphère et nous prive du jour, le ciel qui lui devait tout son éclat en reçoit un nouveau du grand nombre d’étoiles qui ont à leur tour emprunté la lumière du soleil.

Cet instant du jour me revint dans la mémoire, quand le signe du monde et de ses conducteurs eut fait entendre les dernières paroles de son bec bénit.

Alors ces lueurs innombrables, de plus en plus étincelantes, recommen-