Page:Dante - Rimes, 1847, trad. Fertiault.djvu/36

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peul-être nombreuses doivent se trouver dans ce premier travail, et jusqu’à ce qu’une nouvelle édition nous permette d’en enlever le plus possible, nous ne cseserons d’y mettre la main… Réservons-nous donc pour ce moment le plaidoyer en notre faveur. — Quant à présent, nous ne demandons qu’à être remercié : de l’intention d’abord, et du commencement d’exécution ensuite.

Dans une page isolée qui suit le litre de ce livre, nous l’avons comme offert et dédié « aux esprits laborieux et élevés, mais in« dulgenls, qui voudraient bien n’y voir que « le commencement d’un travail sur les « Rimes De Dante. » Ce n’est point là de la modestie pour le plaisir d’en faire ; c’est au contraire la sincère manifestation de notre sentiment. Nous sentons toute noire infériorité, et c’est presque avec crainte que nous livrons à la publicité celle tentative de traduction. Pendant tout le temps qu’a duré le travail, l’ardeur que nous y menions nous donnait une espèce d’assurance ; mais le travail fini, l’ardeur a tombé ; et, l’ardeur tombant, l’assurance a fait comme elle… et aussitôt qu’elle. — Nous avions accepté