Page:Darby - De la présence et de l’action du Saint-Esprit dans l’église 1844.djvu/4

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plus pénible, mais moins difficile, car je peux traiter l’écrit auquel je réponds, non pas comme celui d’un jeune étudiant qui fait, pour ainsi dire, ses premières armes, et que l’on désirerait épargner, mais comme un ouvrage sanctionné par des hommes graves, qui ont dû peser les choses, qui ont dû sentir leur propre responsabilité envers l’Église de Dieu, lorsqu’ils ont recommandé publiquement un ouvrage sur un sujet aussi sérieux que celui du Ministère. Il faut supposer qu’ils ont examiné les raisonnements et les preuves avancées comme ayant été tirées de la Parole de Dieu, et, en recommandant cet ouvrage à toute l’église, ils se sont rendus responsables de son contenu.

La Société laïque, à la vérité, se garde de prendre la responsabilité de tout le contenu de l’ouvrage ; mais, désireuse de la réfutation du système qu’elle appelle « le Plymouthisme, » elle indique la brochure de M. Wolff comme répondant à ce but. (Séance du Comité du 9 juin 1843 : Bulletin no 5, p. 155, 156).

Le rapport de la Société évangélique de Genève ne fait aucune réserve semblable ; en voici les paroles : (p. 35) « D’autres ont combattu celui-ci (le Plymouthisme) avec avantage, en particulier, un élève de notre école de théologie, dans un écrit dont les arguments scripturaires ne peuvent être ébranlés. »

L’on trouvera dans le corps de cette réponse, des