Aller au contenu

Page:Darien-Dubus - Les Vrais Sous-Offs, Savine.djvu/19

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

M. de Lyden a été bon prophète : c’est fait !!!

M. Laisant imprimait dans les colonnes de la Presse du 6 décembre l’appréciation suivante :

« Je ne crois guère à l’existence des mauvais livres. Celui dont je veux parler aujourd’hui fait exception, car il est de nature à ralentir la grande œuvre de réconciliation nationale autour du drapeau, et à réjouir nos ennemis de l’autre côté du Rhin ! »

Dans le Paris du 13 décembre, M. Charles Laurent donne cet excellent conseil :

« Avez vous lu Sous-Offs ? Non. Eh bien, ne le lisez pas ! »

M. Tony-Révillon, dans les colonnes du Radical du 15 décembre, flétrissait en ces termes les inventions nauséabondes de M. Descaves :

« Sous-Offs est une satire de l’armée. C’est la vie à la caserne, dans la brasserie de femmes et dans la maison de filles. Tous les soldats, dont nous parle l’auteur, sont des brutes… Et tous les