sous-officiers qu’il nomme sont des voleurs et des souteneurs. »
Nous n’avons rien à ajouter à une appréciation aussi judicieuse.
M. Paul de Cassagnac, dans l’Autorité du 13 décembre, se montrait sévère mais juste :
« Pour ce livre, il ne faut pas de circonstances atténuantes. On doit le flétrir comme doivent être flétries les œuvres qui s’attachent à détruire ce qu’il y a de plus respectable au monde, ce qu’il y a de plus sacré après Dieu, après la famille, l’Armée enfin ! »
« Le feu seul peut épurer une telle œuvre en la détruisant. »
Plus d’un soldat a déjà dû lancer au feu, après en avoir parcouru la première page, le volume dont il s’agit.
M. Carle des Perrières, dans le Gaulois du 12 décembre, s’adresse à M. le ministre de la guerre :