le Mahdi attendu ; il l’a fait asseoir sur son trône en présence des khalifes, des chefs spirituels et de Khidr (celui que les juifs et les chrétiens appellent le prophète Élie). Dieu lui a promis alors l’assistance des anges qui l’entourent, celle des Djinns fidèles, celle de tous les prophètes et de tous les saints, depuis Adam jusqu’à nos jours. À l’heure du combat, le Seigneur apparaîtra en personne avec eux à la tête de son armée ; le Seigneur lui a remis le glaive de la victoire avec la promesse formelle que nul ne pourra le vaincre, quand même les Djinns s’uniraient aux hommes contre lui. Dieu lui a donné encore deux signes de sa mission : l’un est un grain de beauté sur la joue droite (63), l’autre est l’apparition d’un étendard de lumière, porté à l’heure du combat par l’ange Azrael (64). Le Prophète lui dit encore : « Tu es créé de la lumière de mon cœur » (65). Quiconque croira en lui sera bienheureux et aura auprès de Dieu une place comme celle d’Abd-el-Kader Ghilani (66) ; quiconque le combattra sera
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