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Page:Darwin - Les mouvements et les habitudes des plantes grimpantes, 1877.djvu/236

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RÉSUMÉ.

quand elle est touchée, soit due à un accroissement rapide paraît être que les vrilles perdent leur sensibilité et leur pouvoir moteur après avoir atteint toute leur longueur ; mais ce fait est compréhensible si nous avons présent à l’esprit que toutes les fonctions d’une vrille sont adaptées pour tirer en haut vers la lumière la pousse terminale qui s’élève. Quelle serait l’utilité d’une vrille vieille et complétement développée, partant de la partie inférieure de la tige, si elle conservait sa faculté de saisir un support ? Elle ne servirait à rien, et nous avons vu pour les vrilles tant d’exemples d’adaptation et de simplicité de moyens, que nous pouvons être assurés qu’elles acquerraient l’irritabilité et la faculté de saisir un support à l’âge convenable, — savoir, la jeunesse, — et qu’elles ne conserveraient pas inutilement une telle faculté au delà de l’âge convenable.


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