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avec eux ces manières de femmelette qui vous font tort.
Hélas ! je me laissai tenter. Nous allâmes au café Barbette. Il était toujours le même, plein de cris, de fumée, de pantalons garance ; les mêmes shakos, les mêmes ceinturons pendaient aux mêmes patères.
Les amis de Roger me reçurent à bras ouverts. Il avait bien raison, c’étaient tous de nobles cœurs ! Quand ils connurent mon histoire avec le marquis et la résolution que j’avais prise, ils vinrent, l’un après l’autre me serrer la main : « Bravo ! jeune homme, très bien ! »
Moi aussi j’étais un noble cœur ! Je fis venir un punch, on but à mon triomphe, et il fut décidé entre nobles cœurs que je tuerais le marquis de Boucoyran à la fin de l’année scolaire.