Page:Daudet - Numa Roumestan, Charpentier, 1881.djvu/116

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si peu au superbe Valmajour donnant avec son tambourin le branle aux cigales sur la porte de son mas, que Roumestan détourna les yeux, se sentit pris d’un remords qui, pendant quelques minutes, jeta comme une ombre attristée sur l’éblouissement de son triomphe.