ici ; seulement… Et voilà pourquoi j’insiste… Je ne voudrais pas que Louise se crût engagée envers Franqueyrol parce qu’il est mon ami… (À Louise.) Car enfin, voyons… il n’y a pas même un mois que tu le connais…
Pas même un mois ! Voilà six ans que je m’endors tous les soirs en pensant à lui…
Vraiment !… (Il regarde du côté des papiers.) Alors, avant de l’avoir vu, tu n’avais pas déjà quelque joli petit nom tapi dans un pli de ton cœur ?
Il y a écrit « Franqueyrol » partout, dans mon cœur.
Parbleu ! je suis curieux de voir quelle mine il peut faire en entendant ces choses-là. (Il va vers les papiers.)
Comment ?
Oh ! maman, il était là…
Eh oui ! il était là… Est-ce qu’ils ne sont pas toujours là en pareil cas ? (À Franqueyrol, en soulevant les papiers.) Eh bien ! sortiras-tu, voyons ?