Page:Daudet - Trente ans de Paris, Flammarion, 1889.djvu/264

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ton cassant et gentilhomme, un parfum de noblesse et de vieux faubourg.


Aussi quelle fureur, le jour où le masque tomba, et quand on apprit que ces pages aristocratiques étaient écrites au jour le jour, par deux bohêmes besogneux, sur une table de caba-