Page:Daveluy - Le cœur de Perrine, 1936.djvu/11

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qu’aurons-nous tous gagné ? murmura Perrine, sans lever les yeux.


Eh bien, Charlot termine sa lettre par ces mots…

Le Père ignora cette interruption.

— D’un autre côté, ne croyez-vous pas, Perrine, que l’ascendant qu’a toujours exercé sur votre frère le capitaine de Senancourt ne puisse agir de façon victorieuse sur son humeur mélancolique ? Mais pour cela, il lui faut pénétrer sans cesse chez vous, partager votre vie… Les simples convenances l’empêcheront d’être ainsi assidu chez vous, vous présente…

— Je puis quitter la maison de mon frère, dit Perrine en soupirant.