Page:Daveluy - Le cœur de Perrine, 1936.djvu/39

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et qui lui semblait bien malade, de corps et d’âme.


Perrine s’approcha à son tour, tenant les petits par la main.

Perrine s’approcha à son tour, tenant les petits par la main. André de Senancourt s’inclina profondément, puis remercia avec un tact parfait la jeune fille qui balbutiait quelques mots de bienvenue. Il souleva alors, avec quelle émotion dans ses yeux noirs, devenus soudain pleins de mélancolie, le petit Pierre, tout étonné de se trouver dans les bras de cet oncle qui arrivait de si loin, si loin… Mais il le trouva à