Page:Daveluy - Le cœur de Perrine, 1936.djvu/48

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Mlle Perrine, c’est bien votre désir que j’accompagne votre frère ?

— Comme tu es peu raisonnable, mon frère, reprocha Perrine.

Un instant la jeune fille fixa des yeux suppliants sur le capitaine de Senancourt, qui la regardait obstinément depuis quelques instants. Il se leva.

— Tu sais bien, Charlot, fit l’officier avec impatience en s’approchant du frère et de la sœur, que tu ne partiras pas sans moi… Seulement, ma condescendance mérite la tienne. Di-