Page:Daveluy - Le cœur de Perrine, 1936.djvu/60

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yeux de Charlot eurent un regard très lucide. Ils se posèrent, suppliants, sur ceux du médecin, qui venait de terminer son examen.


André… prends… la main… de Perrine…

— Qu’y a-t-il, mon ami ? demanda-t-il. Dites quelques mots seulement. Je comprendrai.

— Voir… André… et… Perrine.

— Bien. Votre sœur, ou votre beau-frère d’abord ?

— Ensemble.

— Diable ! fit le médecin tout bas. Que veut-il dire ? A-t-il encore un peu de délire ? Pourtant…