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Page:De Balzac - Socrate chrestien, 1652.djvu/114

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dire davantage, quand l' excellent homme dont je vous ay tant parlé, nous aura communiqué les belles choses qu' il a nouvellement meditées. Il m' a promis de les apporter icy : et je ne doute point que ces belles choses ne pesent pour le moins autant qu' elles brillent ; ne soient aussi fortes et solides qu' elles sont subtiles et deliées. Je l' ay ouï prescher : je l' ay veû en conversation, et mon tesmoignage ne vous doit pas estre suspect. C' est un homme qui n' a point de visions, et qui ne croit point avoir de lumieres. Sa speculation s' accommode le