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Page:De Balzac - Socrate chrestien, 1652.djvu/123

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ouvrages, dont les moindres estoient des poëmes epiques, et des histoires. Il travailloit alors à la continuation de celle de Monsieur De Thou, et avoit pour cela, à ce qu' il disoit, des magasins de choses et de paroles. Nous sçeusmes de luy qu' il avoit fait ses estudes en Italie. Mais ayant harangué deux ou trois fois dans l' academie des humoristes, il pensoit que la renommée nous le devoit avoir appris, et que les acclamations qu' il avoit receuës aux rives du Tybre, eussent esté ouïes jusques sur les bords de la Charente. Cét homme ne parloit que de la