Page:De Balzac - Socrate chrestien, 1652.djvu/141

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conclusion du discours ne luy sembla pas moins estrange et moins estonnante qu' avoit fait le reste. Il sentit des aiguillons dans son ame, qui ne laissoient point ses opinions en repos. Il s' escria ; il fit des exclamations, malgré qu' il en eust. Il ne put s' empescher d' admirer des choses, qui le faschoient. Je conclus (adjousta Socrate, apres avoir allegué un passage de Theodoret, qui faisoit à son propos, et où il est fait mention de la langue des romains.) je conclus que les hymnes et les offrandes ne desplaisent point à Dieu, mais qu' il n' a pas pourtant besoin de nos hymnes